经济专业法语词汇

2020-03-02 18:38:25 来源:范文大全收藏下载本文

经济专业法语词汇

A

Accélérateur : relation qui établit que l’investiement est une fonction croiante de la consommation.

Actif(资产) : ensemble des biens matériels et immatériels détenus(在押的) par un agent économique.Exemple : un bien财务 d’équipement ou les actions股份 d’une autre entreprise.

Action 股票,股份: titre证券 représentant une partie du capital d’une entreprise.Elle confère授与,给与 à son détenteur un droit de propriété sur une partie du capital et un droit de vote dans la gestion de l’entreprise.

Activité économique 经济活动: ensemble des actes que doivent accomplir les hommes pour satisfaire (v.t.dir使满意,使满足,满足) leurs besoins à partir de la production et de l\'échange de biens 物质财富et services.

Actualisation : méthode qui consiste à(在于) exprimer la valeur d\'une somme monétaire future en un équivalent actuel.Si je poède dix francs aujourd\'hui, pour que j\'accepte de l\'échanger contre une somme dans un an, il faudra que l\'on me propose plus que dix francs en échange.En effet, l\'impatience, l\'inflation, le coût d\'opportunité de l\'utilisation de cette somme pendant un an etc.me poue à demander plus que la somme initiale (dix francs).

Agent économique : désigne les personnes physiques ou morales qui participent à l\'activité économique.

Agent représentatif : en théorie économique, représente l\'hypothèse selon laquelle l\'économie serait formée d\'agents identiques par leurs préférences ou leur fonctions de production.Il est suffisant alors de ne s\'intéreer qu\'au comportement d\'un seul de ces agents pour comprendre le fonctionnement de l\'économie dans son ensemble.

Agrégats monétaires : ensemble des moyens de paiement dans une nation.On distingue plusieurs agrégats en fonction du degré de liquidité de leurs composants. Les agrégats retenus sont : M1 = Billets et monnaie divisonnaire (pièces) + dépôts à vue.M2 = M1 + placements à vue (comptes sur livret + comptes d\'épargne logement, CODEVI).M3 = M2 + placements à forte liquidité (comptes à terme, certificats de dépôts, bons des institutions financières, titre d’OPCVM court terme) et dépôts et titres de créances en devises.M4 = M3 + billets de trésorerie et bons du Trésor.

Amortiement折旧;分期偿还,分年摊还 : en économie, mesure la perte损耗 de valeur subie par un stock de capital.Cette perte provient 起源于soit de son usure用坏,磨损 physique, soit de son obsolecsence损耗.

Anticipation预测,预料 : hypothèse subjective 主观concernant关于 l\'évolution future d\'une variable donnée permettant de fonder des prévisions en vue d\'une action future.

Anticipations adaptatives : anticipations formées à partir des valeurs paées de la variables en corrigeant cette valeur en fonction des erreurs paées. Mathématiquement : xat = (xt-11).xat est la valeur de x anticipée en t-1 pour t.E ( xt / I t1.Les anticipations rationnelles sont désormais les plus couramment utilisées en économie.Mais le sens qu\'on peut leur attribuer n\'est pas dénué d\'ambiguïtés

Anticipations statiques : anticipations qui se forment en considérant que la valeur future de la variable sera la même que sa valeur actuelle.Autrement dit, \" demain sera le même qu’aujourd’hui \".Ou encore, si x est la variable anticipée : xat+1 = xt , pour tout t.xat+1 est la valeur de x anticipée en t pour t+1.Ce type d’anticipations n’est quasiment plus utilisé en économie.

Appréciation : en régime de changes flexibles, désigne la haue du cours d’une monnaie.

Armée de réserve : Voir les textes sur Marx dans la rubrique questions et réponses du site.

Asymétrie d’information : situation dans laquelle les participants à un marché ne poèdent pas tous la même information sur les produits, les risques, les préférences des autres agents etc., certains étant mieux informés que d’autres.

Austérité : politique économique consistant à comprimer la demande en vue de ralentir la haue des prix.Synonyme de rigueur. Autarcie : caractérise une économie sans échange, où chacun est auto-suffisant.Peut s’appliquer à un pays qui n’entretient pas de relations commerciales avec les autres pays.

Exemple : Robinson sur son île, la quasi-autarcie de l’Allemagne hitlérienne.En réalité, l’autarcie véritable n’a jamais existé.

Autofinancement 自供资金: Financement (des investiements) fait à partir des reources propres de l’entreprise, c’est à dire sans faire appel au à l\'emprunt (bancaire ou obligataire) ou à la bourse (augmentation de capital).

B

Balance commerciale贸易差额 : compte récapitulant概括,扼要说明 les importations et les exportations de biens d’un pays.

Balance des capitaux : compte récapitulant les entrées et sorties de capitaux d’un pays.

Balance des invisibles : compte récapitulant les exportations et importations de services et de revenus d’un pays.

Balance des paiements 支付差额: compte retraçant l’ensemble des échanges d’un pays.

Balance des transactions courantes : compte récapitulant les opérations de la balance commerciale et de la balance des invisibles.

Banking school : ou principe de banque.Théorie selon laquelle la monnaie doit être émise par la Banque Centrale librement pour servir les besoins des agents en monnaie, sans qu’il existe une couverture stricte des billets émis, par une quantité d’or détenue par la Banque Centrale.

Thomas Tooke était le chef de file de cette école du XIXème siècle.Il était opposé à la currency school de Ricardo.Dans cette logique, la monnaie est endogène.C\'est une vision plutôt keynésienne de la création de monnaie.Voir diviseur de crédit.

Banque 银行: organisme financier qui concentre集中 les moyens de paiement, aure la distribution du crédit, le change, les opérations de tenue des marchés et l’émiion de billets de banque.En général, cette dernière fonction est aurée par une seule banque dans le pays : la Banque Centrale.

Banque centrale : la Réserve fédérale des États-Unis, la Banque du Canada, ou la Banque centrale européenne, banque dont les fonctions sont l’émiion de la monnaie fiduciaire信用的 et l’execution 实施de la politique monétaire.Elle est la banque des banques.Elle organise les règlements par compensation entre les banques (dites \" de second rang \").Elle organise la surveillance监督 et la sécurité du système financier national.Elle coopère avec les Banques Centrales étrangères dans l’organisation du système monétaire et financier international.

Base monétaire基础货币 : monnaie centrale.Elle comprend les billets et pièces ainsi que les réserves des banques de second rang auprès de la Banque Centrale.Voir aui multiplicateur de la base monétaire et diviseur de la base monétaire.

Besoin需求 : sentiment de privation qui porte à désirer un bien ou un service.La satisfaction des besoins est le but de l’activité économique.Ce but n’est jamais complètement atteint.On suppose en économie que les besoins des hommes人类 sont infinis et les reources pour les satisfaire insuffisantes.

Bien collectif(集体的,共同的)公共财产 : ou bien public.Un bien est un bien public si :l’homogénéité : tous les biens offerts sont strictement identiques ;

3la libre entrée et libre sortie : chacun peut à tout moment choisir de participer ou non au marché.

Lorsque ces conditions sont respectées, l’économie de marché est censée conduire à une allocation optimale des reources (d’après la théorie néoclaique).Cette formulation est critiquée par certains auteurs, comme Bernard Guerrien, qui considèrent (à juste titre semble-t-il d\'ailleurs) que les seules hypothèses de la concurrence parfaite énoncées par les théoriciens de l\'équilibre général sont :

- Il existe pour chaque bien un prix affiché et connu de tous.Hypothèse institutionnelle.Aux prix affichés, les agents formulent leurs offres et demandes auprès du commiaire-priseur qui les regroupe et les confronte.Il n\'y a pas d’échange direct.Hypothèse institutionnelle.l’expansion ;la contraction ; la reprise.

Cycle de vie (hypothèse du) : relatif à la théorie du cycle de vie de Franco Modigliani.Pour Modigliani, l’individu choisit sa consommation en fonction de l’évolution prévue de sa richee tout au long de sa vie (son cycle de vie).Voir la question-réponse consacrée à ce point.

D

Demande effective : dans la terminologie keynésienne, désigne la demande globale perçue (anticipée) par les entrepreneurs, à partir de laquelle ils prennent leurs décisions de production et d’emploi.

Demande globale : somme des demandes individuelles sur un marché (voire pour toute l\'économie, en macroéconomie).

Demande nette : synonyme d’excès de demande, c’est la différence entre la demande globale et l’offre globale.

Défaillances du marché : situation dans laquelle l’efficacité maximale ne peut être atteinte par les mécanismes du marché, notamment en présence d’une situation de monopole ou d’oligopole, d’effets externes ou de biens publics.Déflation : diminution générale et durable du niveau général des prix. Délais de la politique économique : expreion de Milton Friedman qui désigne la période comprise entre la décision de politique économique et ses effets.Friedman considère qu’il y a deux types de délais : les délais internes qui correspondent au délai compris entre la décision de politique économique et sa mise en oeuvre effective et les délais externes qui correspondent au délai compris entre la mise en place de la politique et ses premiers effets sur l’activité.

Friedman considère que l’existence de ces délais rend néfastes les politiques conjoncturelles.En effet, selon lui, lorsque l’économie est en réceion et que le gouvernement décide d’une politique de relance, lorsque cette politique prend effet, le cycle s’est retourné, on est naturellement en phase d’expansion.La politique économique a comme seule influence d’accentuer cette expansion et de créer une surchauffe de l’activité.Si, à ce moment là, le gouvernement prend des mesures pour ralentir l’activité, le phénomène symétrique apparaît : les effets la politique économique se manifestent lorsque l’économie est entrée en phase de contraction et ils accentuent le marasme économique.En fin de compte, la politique économique s’avère donc procyclique alors qu’elle a pour but d’être contracyclique

Dépreion : conjoncture caractérisée, baie de l’offre globale (mesurée en pratique par le PIB).

Dépréciation : en changes flexibles, baie de la valeur d’une monnaie par rapport aux autres, par le jeu de l’offre et de la demande sur le marché des changes.

Désinflation : baie du taux d’inflation.

Désinflation compétitive : politique économique qui consiste à s’appuyer sur un faible taux d’inflation pour rendre les entreprises nationales compétitives.

Note : Le proceus recherché est le suivant : en maintenant un faible taux d’inflation, on conserve un taux de change relativement élevé.Cela a deux effets : d’une part, les exportations sont pénalisées, ce qui oblige les entreprises pour rester compétitives à faire des efforts sur les coûts (salariaux notamment) ; d’autre part, une monnaie forte réduit le coût des importations, ce qui est un avantage.Au total, les entreprises nationales sont plus compétitives.D’autre part, une faible inflation aure un niveau faible des taux d’intérêt à long terme, ce qui favorise l’investiement.

Dévaluation : en changes fixes, décision d’un gouvernement de diminuer la valeur de sa monnaie par rapport aux autres monnaies. Diviseur monétaire : relation qui détermine la création monétaire dans une économie d’endettement.La base monétaire est déterminée par la quantité de crédit octroyée par les banques (qui se retournent ensuite vers la Banque Centrale pour leur refinancement, d’où la variation de la base monétaire).L\'offre de monnaie est exogène.

Note : Cette relation est : dB = 1 / k dCr.Avec B la base monétaire, k le multiplicateur de crédit, 1 / k le diviseur et Cr le crédit distribué par les banques.Voir aui multiplicateur monétaire.

Duopole : situation de marché de concurrence imparfaite caractérisée par la présence de deux offreurs face à un grand nombre de demandeurs. E

Economie : selon Jean-Baptiste Say, il s’agit de la science qui étudie la production, la répartition, la distribution et la consommation des richees dans la société.

Selon Lionel Robbins, l’économie est la science qui étudie les comportements humains en tant que relation entre les fins et les moyens rares à usages alternatifs.D\'un point de vue sémantique, l\'Economie a pour particularité de porter le même nom que son objet d\'étude.

Economie de marché : économie caractérisée par :la recherche légitimée de l’intérêt personnel ;il peut choisir de consommer plus de A qui est devenu moins cher.On dit que l’effet substitution l’emporte ;

- il peut consommer autant de A (ce qui lui coûte moins cher qu’avant) et utiliser les économies réalisées à consommer plus de B.On dit que l’effet revenu l’emporte.

Le choix dépendra de la fonction d’utilité du consommateur, qui représente ses préférences en termes de quantités de A et B consommées.

Effet d’annonce : effet recherché par les autorités de la politique économique lorsqu\'elles annoncent des mesures à venir.Elles souhaitent ainsi influencer le comportement des agents économiques dans un sens souhaité. Exemple : en annonçant une faible progreion de la mae monétaire, la banque centrale espère réduire les anticpations inflationnistes.

Effet d’encaie réelle : l’encaie réelle d’un agent est le rapport de la somme de monnaie qu’il détient sur le niveau général des prix.Lorsque les prix augmentent, la perte de pouvoir d’achat des encaies monétaires détenues (pour un motif de précaution) poue les consommateurs à refaire leurs calculs de consommation, d’épargne et de demande de monnaie.Ils demandent plus de monnaie (en termes nominaux) et moins de biens.La demande de biens diminue, d’où une baie du niveau général des prix qui conduit les agents à refaire de nouveau leurs calculs.Il demandent moins de monnaie puisque leurs encaies réelles ont augmenté et plus de biens.

Note : On revient à la position initiale au bout d’un certain temps.Auteurs de référence : Knut Wicksell, A.C.Pigou, Don Patinkin.Voir aui la question-réponse sur ce thème.

Effet d’éviction : décrit le mécanisme par lequel la haue des dépenses publiques induit une baie équivalente (ou pas ) des dépenses privées d’investiement par la haue du taux d’intérêt qu’elles provoquent sur le marché des fonds prêtables dans la théorie néoclaique et sur le marché de la monnaie dans le modèle IS-LM.

Effet externe : il y a effet externe lorsque l’activité d’un agent a une influence sur la satisfaction d’un autre agent.Il existe des effets externes de consommation et de production ; des effets externes positifs et négatifs.

Exemples : un individu écoute de la musique à proximité d’un autre individu qui n’a pas les mêmes goûts musicaux.Il y a effet externe négatif de consommation.Une entreprise rejette des déchets dans une rivière.Il y a effet externe négatif de production pour les riverains qui utilisent l’eau de la rivière.Une entreprise engage une agence de sécurité pour protéger le quartier dans lequel elle est située.Il y a effet externe de production (puisqu’il s’agit d’un acte lié à la production) et de consommation pour les particuliers qui sont eux aui protégés.Dans tous les cas, celui qui subit ou bénéficie des effets externes n’est pas rémunéré pour les coûts encourus ou ne paie rien pour les avantages retirés.C’est une défaillance du marché qui, normalement, devrait rémunérer chacun selon les services rendus ou les coûts générés à autrui.

Efficacité : Réalisation d\'un objectif fixé.

Efficacité marginale du capital : selon Keynes, il s’agit du rendement escompté d’un bien en capital, c’est-à-dire les revenus que l’utilisateur espère en retirer pendant la durée d’utilisation et la vente de sa production, déduction faite des dépenses courantes de production.C’est la comparaison avec le taux d’intérêt monétaire qui va déterminer si on réalise ou non un investiement : si l’efficacité marginale du capital est supérieure au taux d’intérêt, l’investiement est réalisé.

Efficience : l’efficience caractérise une situation dans laquelle un objectif fixé est réalisé en utilisant pour cela le moins de reources poibles.

Elasticité : mesure la variation relative d’une variable en fonction de la variation relative d’une autre variable.

Exemple : l’élasticité de la demande d’un bien par rapport à son prix, exprime de combien de pour cent la demande diminue lorsque le prix augmente de un pour cent.Mathématiquement, l’élasticité de x par rapport à y s’écrit : e (x/y) = (dx / x) / (dy / y)

Encadrement du crédit : instrument de politique monétaire qui consiste pour les autorités monétaires à définir de manière réglementaire le volume de crédit qui sera émis par les banques.C’est une pratique qui n’est plus employée aujourd’hui.

Endogène : se dit d’une variable qui est déterminée par le fonctionnement d’un modèle. Exemple : dans IS-LM, le taux d’intérêt d’équilibre (entre autres !) est endogène.

Entrepreneur (Schumpeterien) : personnage central dans la théorie de la croiance de Joseph Schumpeter.Schumpeter distingue deux types d’entrepreneurs.

L’entrepreneur innovateur est un individu qui crée des innovations (donc prend des risques) dans le but de s’octroyer une rente de monopole.L’entrepreneur imitateur est celui qui imite l’innovateur et accroît la production des biens ius de l’innovation.

Selon Schumpeter, c’est le comportement de recherche de rente des entrepreneurs ionnovateurs qui permet à l’économie de sortir des phases de stagnation par la création de nouvelles innovations qui engendrent des périodes de croiance

Entreprise : unité économique autonome combinant divers facteurs de production, produisant pour la vente des biens et des services et distribuant des revenus en contrepartie de l’utilisation des facteurs.

Note : L\'entreprise est généralement aociée, à juste titre, au motif de profit.Mais dans la réalité (entreprises publiques), comme dans la théorie (théories de l\'entreprise managériale, par exemple), le motif du profit n\'est pas une constante de la définition de l\'entreprise.

Epargne : on peut en donner plusieurs définitions :renoncement à la consommation ou abstinence, d’où l’intérêt reçu.

- excès du revenu sur la dépense de consommation.L’épargne est un résidu, un phénomène paif, pas un acte volontaire dans le but de l’abstinence.C’est la définition de John Maynard Keynes.

Epistémologie : Etude critique des principes, des hypothèses et des résultats des diverses sciences destinée à déterminer leur origine logique, leur valeur et leur portée objective.

Equation quantitative de la monnaie : elle est due à Irving Fisher (1907).Elle s’écrit : MV = PY .Avec M la mae monétaire, V la vitee de circulation de la monnaie, P le niveau général des prix, Y le volume des transactions (ou de la production globale).En soit, c’est une équation comptable qui traduit l’équilibre monétaire d’une économie.Elle signifie que le volume de liquidités en circulation MV est équivalent à la production en valeur de l’économie PY et que toute inégalité est corrigée par la variation d’un ou de plusieurs des termes de l’équation.Cela dit, elle peut être interprétée selon différentes théories.La théorie quantitative de la monnaie énonce que lorsque M augmente, V et Y étant constants dans la construction quantitativiste (Néoclaiques et, en particulier, Monétaristes), P augmente d’autant, à long terme.Pour d’autres courants (Banking school et keynésiens) la conséquence d’une haue de M peut être une haue de Y ou une baie de V, la haue de P n’arrivant que lorsque l’offre est inélastique.A la limite, on peut la lire en sens inverse et dire que c’est la haue de Y qui induit une haue de M (Banking school).

Equilibre économique : concept central en économie.Il s’agit d’exprimer la réalisation d’un état stationnaire (qui ne change pas) au niveau de l’optimum d’un agent (consommateur ou producteur), d’un marché (égalité offre / demande) ou d’une économie ( égalité offre / demande sur tous les marchés).

Equilibre général walrasien : situation dans laquelle tous les agents maximisent leurs fonctions objectif (profit pour les producteurs, utilité pour les consommateurs) et où sur chaque marché l’offre est égale à la demande.

Exogène : se dit d’une variable qui n’est pas déterminée par le fonctionnement d’un modèle.

Exemple : dans IS-LM, les dépenses budgétaires et la mae monétaire sont des variables exogènes.On leur donne des valeurs pour voir quel est leur effet sur les variables endogènes.

Expansion : phase du cycle économique durant laquelle la production croît.

Exploitation (chez Marx) : Voir les textes sur Marx dans la rubrique questions et réponses du site.

Externalité : synonyme d’effet externe.

F

Facteurs de production : éléments dont la combinaison permet la production.

Note : On retient en général deux types de facteurs : le capital (auquel on adjoint parfois la terre) et le travail.

Fait stylisé : constat d’ordre empirique, généralement non quantifié, mais jugé représentatif du fonctionnement de l’économie.Les faits stylisés sont au coeur des discuions sur la démarche de la science économique.Certains auteurs contemporains (Kaldor par exemple) voudraient que les hypothèses des modèles en économie soient basées sur des faits stylisés, alors que d’autres (Friedman notamment) défendent une position inverse : les hypothèses n’ont pas à être réalistes, seule compte la capacité de prédiction des modèles.

Fonction de demande : relation entre la quantité d’un bien demandée et son prix, le prix des autres biens et le revenu d’un consommateur.

Fonction de production : relation entre la quantité produite d’un bien et les quantités des différents facteurs néceaires à l’obtention du bien. Mathématiquement : Y = F ( K, L).Avec Y la production, K le capital utilisé, L le travail utilisé.

G

Globalisation : phénomène d’internationalisation des transactions commerciales et financières qui se caractérise par le jeu d’acteurs qui conçoivent leur activité et la recherche de l’efficience au niveau mondial.

H

Heckscher-Ohlin-Samuelson (théorème de) : le théorème HOS énonce qu’un pays doit se spécialiser (dans le commerce international) dans la production du bien pour lequel il détient un avantage en dotation factorielle.

Exemple : si un pays A détient relativement plus de capital qu’un pays B et relativement moins de travail, le pays A se spécialise dans la production des biens néceitant plus de capital et le pays B dans la production néceitant plus de travail.

Homo-oeconomicus : sujet abstrait, symbole de la rationalité dans les théories claique et néoclaique.

Homogénéité des produits : voir concurrence parfaite.

Hyperinflation : inflation très élevée et dont le rythme s’amplifie généralement toujours au cours du temps.

I

Illusion monétaire : appréciation erronée de l’évolution des variables réelles suite à la haue ou la baie des variables nominales.

Exemple : il y a illusion monétaire lorsque l’inflation est de 5%, que les salaires augmentent de 5% et que les travailleurs pensent que leur revenu réel a augmenté.

Impôt/Taxe Tobin : impôt proposé par James Tobin dont le principe est de taxer les flux de capitaux pour réduire les mouvements spéculatifs.En taxant à 0,5 % les flux de capitaux, il estime que l’on pourrait à la fois décourager les mouvements purement spéculatifs, ne pas empêcher les réalignements de parité fondés sur les fondamentaux de l’économie et ne pas diuader les mouvements de capitaux liés aux échanges commerciaux ou à des investiements productifs (dont l’échéance lointaine rendrait négligeable l’impôt sur le mouvement de capitaux initial).

Incertitude : état dans lequel il est impoible à un agent de formuler des prévisions sur le futur car il ne connaît pas la probabilité d\'occurrence d’un évènement et / ou il ne connaît pas la totalité des évènements poibles dans le futur.Distinct du risque.

Indexation : méthode consistant à faire évoluer contractuellement un revenu en fonction de l’évolution d’une autre variable.

Exemple : jusqu’au milieu des années 80, les salaires étaient indexés en France sur le taux d’inflation.

Indice des prix à la consommation : instrument pour mesurer l’évolution de l’ensemble des prix à la consommation.En économie, lorsqu’on parle du niveau général des prix, c’est à cet indice que l’on se réfère.Son principe de construction est le suivant : c’est une moyenne pondérée des prix des biens les plus consommés, chaque prix étant pondéré par l’importance relative du bien dans la consommation globale.

Inflation : haue continue du niveau général des prix.

Institut d’émiion : Banque Centrale (émet la monnaie).

Institutionnalisme : courant de la pensée économique qui met l’accent sur le rôle des institutions comme déterminant des phénomènes économiques. Note : Quelques noms : au début du siècle, Thorsten Veblen, aujourd’hui Oliver Williamson ou Robert Boyer (France).

Institutions : ensemble de règles socio-historiques qui définient le cadre dans lequel les agents économiques prennent leurs décisions d’allocation des reources. Exemple : la monnaie est une institution car elle modifie la façon de procéder aux échanges par rapport au troc.

Intermédiation : mise en relation d’offreurs et de demandeurs sur un marché par un tiers.

Exemple : les banques collectent l’épargne de leur clients, la placent sur le marché financier.Du côté de l’épargnant comme du côté de l’entreprise financée, le seul interlocuteur est la banque.

Investiement : au sens étroit, acquisition de biens de production en vue de l’exploitation d’une entreprise et de dégager un revenu ou augmentation de la capacité de production.Au sens large, acquisition d’un capital en vue d’en percevoir ou d’en consommer le revenu.

Isoquant : ensemble des combinaisons de facteurs (substituables) qui conduisent au même niveau de production.

J

*** : K

Keynésianisme : doctrine iue de la théorie de John Maynard Keynes (1883-1946).

Know-How : savoir-faire, connaiances techniques particulières néceaires à la reproduction d’un procédé de fabrication ou de distribution.

Krach : effondrement des cours boursiers apparaiant souvent à la suite de mouvements spéculatifs.

L

Learning-by-doing : apprentiage par la pratique.L\'un des mécanismes évoqués pour expliquer la croiance dans les théories de la croiance endogène.

Libéralisme : pas forcément simple à définir.Doctrine économique qui prône la libre concurrence et qui s’oppose donc tant à l’intervention de l’Etat qu’à la constitution de monopoles ou d’oligopoles privés.Cette doctrine est fondée sur la conviction qu’il existe un ordre économique naturel réalisé par des mécanismes d’ajustement qui ne peuvent jouer que dans le libre jeu des initiatives individuelles sur des marchés.

Libre-échange : situation dans laquelle les flux économiques internationaux sont libres.Par extension, doctrine de l’échange international qui stipule que chaque pays participant à l’échange international à intérêt à n’opposer aucune contrainte aux flux économiques (biens, services, facteurs de production) entre pays.Le libre-échange améliorant la situation de tous.C’est une extension du libéralisme à l’ensemble des économies nationales. Liquidité : propriété d’un bien à être utilisé plus ou moins rapidement dans un emploi donné.

Exemple : la monnaie est l’actif liquide par nature pour opérer des transactions.Les liquidités d’une économie sont la somme des moyens de paiement disponibles dans cette économie.

Logrolling : procédure de marchandage parlementaire, qui consiste pour des parlementaires à échanger des votes sur des projets différents.

Loi d’Okun : relation mise en évidence par Arthur Okun (1962), qui exprime le taux d’évolution du taux de chômage comme une fonction décroiante du taux de croiance de l’économie.

Note : On en a déduit pour la France que si la croiance est situé entre 2,5 et 3%, le taux de chômage était stable dans les années 80.Depuis, il semblerait que ce chiffre soit plus proche de 2%.

M

Macroéconomie : branche de l’économie qui étudie les mécanismes économiques du point de vue de grandeurs et de groupes d’agents agrégés.La macroéconomie a pour but de construire des fonctions de comportement globales ad hoc où à partir d’hypothèses concernant l’agrégation de comportement microéconomiques et d’en déduire des mécanismes explicatifs du fonctionnement de l’économie dans son ensemble.

Main invisible : principe présenté par Adam Smith (1776) pour expliquer l’ordre naturel et le libéralisme économique.Par le jeu de la concurrence sur les marchés, la prospérité générale est aurée, pour peu que chacun ne se préoccupe que de son propre intérêt.Tout se paerait comme si une main invisible transformait la somme des intérêts individuels en un intérêt général.

Marché : lieu de rencontre d’une offre et d’une demande, duquel émerge un prix pour le bien échangé.Le marché désigne aui en économie l’économie de marché dans son ensemble en tant que système économique autorégulé et en tant qu’institution. Voir économie de marché.

Marché à terme : marché sur lequel les échangeurs s’entendent par avance pour la livraison future d’un bien, service ou titre à un prix fixé par avance.Voir contrat à terme.

Marché à terme : marché où s’échangent les devises.Ce n’est pas un marché réellement localisé, c’est un réseau entre les cambistes des banques du monde entier.Les échanges se font à l’aide des instruments de télécommunications.

Marché financier : marché de la monnaie et des capitaux à long terme

Marché monétaire : marché de l’argent à court terme où les intervenants formulent des demandes et des offres de liquidité pour de courtes périodes.Longtemps réservé en France aux seules institutions financières, il est ouvert aux autres agents depuis les années 80.

Marx (Karl) : Pour quelques définitions importantes chez Marx, voir la rubrique questions et réponses du site.

Microéconomie : branche de l’économie qui s’applique à expliquer, sur la base de l’hypothèse de rationalité, le comportement d’agents isolés et d’en déduire les conditions de l’équilibre général walrasien.

Modèle économique : représentation simplifiée de la réalité économique ayant pour but de mettre en relation les variables significatives pour la compréhension des mécanismes économiques.

Monnaie : la monnaie peut se définir par les fonctions qu’elle remplit.Elles sont au nombre de trois :instrument des échanges ;dérivés en particulier).Voir aui la question-réponse sur ce thème.

O

Offre : Volume de biens ou de services proposé à la vente sur un marché.

Offre globale : Au niveau macroéconomique, c’est l’agrégation de toutes les offres de biens des différents marchés, sans distinction sur la nature du produit.On parle aui d’offre agrégée.

Oligopole : structure de marché caractérisée par un petit nombre d’offreurs (supérieur à un) confronté à un grand nombre de demandeurs.

Oligopole bilatéral : structure de marché dans lequel un petit nombre d’offreurs sont confrontés à un petit nombre de demandeurs.

Oligopsone : structure de marché dans laquelle un petit nombre de demandeurs sont confrontés à un grand nombre d’offreurs.

Open market : technique d’intervention de la Banque Centrale sur le marché monétaire qui consiste à fournir ou reprendre des liquidités à ce marché en achetant ou vendant des titres.

Note : En anglais, open market désigne également le marché monétaire lui-même.

Optimum : Niveau jugé le meilleur dans une optique déterminée.Ou valeur d’une grandeur ou d’un ensemble de grandeurs parmi diverses autres et considérée comme la plus adaptée à la réalisation d’un ou plusieurs objectifs, compte tenu d’un ensemble de contraintes.

Optimum de Pareto : situation dans laquelle, on ne peut améliorer la situation d’un individu sans réduire la satisfaction d’au moins un autre individu.

Option : produit financier qui représente le droit d\'opérer une transaction à une date ultérieure ou non, à des conditions données aujourd\'hui.Exemple : une option (de change) d\'achat dollars contre euros à 3 mois, à un taux de 1 dollar contre 1 euro, portant sur 500 dollars, donne le droit, dans 3 mois, d\'acheter 500 dollars avec 500 euros dans 3 mois.Une option permet soit de se couvrir contre un risque, soit de spéculer.

P

Parité des pouvoirs d’achat : hypothèse sur la détermination des taux de change à long terme, selon laquelle les taux de change entre monnaie doivent se déterminer de telle sorte que les monnaies aient le même pouvoir d’achat.

Note : Cela signifie que si une certaine quantité de francs permet d’acquérir un panier de biens donné, alors après sa conversion en dollars, cette somme permettra d’acheter le même panier de biens aux Etats-Unis.

Parité des taux d’intérêt : hypothèse selon laquelle, en économie ouverte lorsque les capitaux sont parfaitement mobiles, la concurrence entre places financières conduit à une égalisation des taux d’intérêt dans tous les pays.

Paager clandestin : comportement d’un individu qui diimulent ses préférences pour un bien public dans le but de profiter de sa production sans contribuer au financement de ce bien public. Plus value (chez Marx) : Voir les textes sur Marx dans la rubrique questions et réponses du site.

Politique budgétaire : politique économique conduite au moyen du budget de l’Etat pris globalement, incluant l’action par les recettes et l’action par les dépenses publiques.

Politique commerciale : politique adoptée par une nation, dans le cadre du commerce extérieur et pouvant se traduire par la \" libéralisation \" des échanges, le contingentement, l’abaiement ou le relèvement des droits de douane, des subventions à l’exportation etc.Le but de ces politiques est de favoriser les exportations nationales.

Politique conjoncturelle : ensemble des actions délibérément adoptées en vue de la régulation de la conjoncture, que ce soit par l’intermédiaire de la politique budgétaire, de la politique monétaire, des revenus etc.

Note : On résume ses objectifs par la formule dite du \" carré magique \" : stabilité des prix, plein-emploi, expansion et équilibre extérieur.

Politique des revenus : ensemble d’orientations indicatives et concertées destinées à éviter des haues de prix et de salaires trop importantes.

Politique économique 经济方针,经济发展策略: action consciente有意识到得 de la puiance publique se traduisant par la définition d’objectifs économiques et sociaux et la mise en oeuvre des moyens néceaires pour les atteindre.

Politique monétaire : Actions délibérées des autorités monétaires (Banque Centrale) sur la mae monétaire et les actifs financiers en vue de la régulation de l’économie à court et moyen terme.

Note : Actuellement, on reconnaît comme objectif principal de la politique monétaire la stabilité des prix.

Pouvoir d’achat : quantité de biens et de services qu’une somme d’argent permet d’acquérir.Le pouvoir d’achat décroît avec l’inflation.

Préférence pour la liquidité : terme utilisé par John Maynard Keynes pour désigner la demande de monnaie.Selon lui, cette préférence pour la liquidité se justifie par trois motifs :un motif de transaction,i.e.actionnaires et prêteursparité fixe entre monnaies des zones de l\'ensemble ;harmonisation des réglementations de change.En général, ce regroupement se fait autour d’un pays et de sa monnaie jugée comme référence en termes de stabilité.Il existe des zones monétaires officielles (zone franc, zone sterling) et d’autres informelles (zone dollar, zone mark avant l\'euro).

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